Depuis le décès de Bernard et depuis le crash de ce site, il s’est passé beaucoup de choses
En mémoire de Bernard et de son travail Catherine Goffaux, le 10 novembre2025 octobre 2025 : sortie de Le Cimetière à Barnes de Gabriel Josipovici chez Tristram dans une traduction de Vanessa Guignery, dédié à Bernard : « En souvenir de Bernard Hœpffner, ami cher, traducteur incomparable. » 17 et 18 septembre 2025 : communication de Enrico Monti (Université de Haute-Alsace, ILLE UR 4363) au (…)
Site traitant de la traduction en général, et de travaux de Bernard Hœpffner en particulier
Articles les plus récents
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Actualités
13 novembre, par jhoepffner -
Témoignages
28 novembre 2021, par jhoepffnerCher Monsieur,
Frédéric Forte m’a communiqué votre courriel, et je vous écris au sujet de votre frère. Je l’ai rencontré à de très nombreuses reprises au cours de nombreuses années, et il a traduit le premier chapitre d’un conte que j’avais écrit. Nos rencontres ont été à l’occasion de lectures, de colloques, … Nous avions une passion commune : celle de la grande littérature anglaise depuis la Renaissance. Chaque fois que nous nous sommes vus, nous en avons parlé, parfois longuement. (…) -
l’Obs
17 juillet 2017, par jhoepffnerL’Obs du 13 juillet 2017
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Le récit de Chloe à Saint-David’s Head
1er juin 2017, par jhoepffnerChloe, la fille de Bernard s’est rendue à Saint-David’s Head avec sa mère, Helen. Voici son récit, transcrit par mes soins.
Le Policier Steve O’Leary, chef de l’enquête est venu nous chercher à la gare et nous a emmené directement à la station de police de Cardigan pour parler avec les deux témoins qui vivent là-bas. Son dernier contact avec l’humanité ne pouvait être avec des personnes plus gentilles, Jackie et John.
Ce qui est étonnant est qu’elle est diplômée en littérature (…) -
Saint David’s Head
28 mai 2017, par jhoepffnerBernard Hœpffner, traducteur et écrivain a disparu le samedi 6 mai au pied de la falaise de Saint David’s Head (Pembrokeshire, Wales). Une personne marchant sur le sentier côtier a signalé à 15:10 (heure locale) aux gardes-côtes la présence d’un homme dans l’eau, accroché au rocher et portant un sac à dos. Les recherches effectuées ce jour là et le lendemain par un hélicoptère et un bateau n’ont donné aucun résultat. Seule a été retrouvée une veste en peau contenant un portefeuille avec des (…)
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Starts With a Bang… Ends in a Whisper
28 April 2017, by Bernard Hoepffner[…]
∞ Sonnet Monday Now, this is my double bind (double blind?), a true one. I have an h in French (on my birth certificate from the 6th arrondissement in Paris) and none in Croatian (Croatian passport and birth certificate from the Yugoslav embassy, written in Cyrillic). So, depending on whether I feel French or Croatian I put an h or not. Sounds like Hitchcock, no? Well, now at least you know to whom you are writing so often. The “split” personality figured in my double “état civil” (now (…) -
Presentation of the translation in Oxford
18 April 2017, by Bernard HoepffnerFirst of all, I would like to thank the organizers of TRIO for having invited me to come here and talk about the translation of Robert Burton’s Anatomy of Melancholy, I would also like to thank Professor Bamborough, present here today, who has been of such immense help for me during this translation, and lastly my wife, without whose collaboration I would be unable to translate into French. Last time I came here was to talk about my first translation, Brigid Brophy’s In Transit, today it is (…)
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Traduire John Keene
15 avril 2017, par Bernard Hoepffner« Comment un homme peut-il traduire le livre d’une femme qui raconte un accouchement ? » La question a été posée il y a longtemps. La réponse est simple : on peut traduire tous les livres que l’on est capable de lire. En ce qui concerne le livre de John Keene, on pourrait me demander si un blanc peut traduire non seulement le livre d’un noir, mais aussi, et surtout, le livre d’un noir qui raconte sous la forme de divers textes, tous selon des points de vue différents, l’histoire de (…)
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"Le Roman en sa lumineuse aberration"
15 April 2017, by Bernard Hoepffner[|Gilbert Sorrentino, le roman en sa lumineuse aberration|]
ALAIN NICOLAS, JEUDI, 18 AVRIL, 2013, L’HUMANITE
L’auteur de Salmigondis s’impose, sept ans après sa disparition, comme une des figures originales de la littérature américaine contemporaine. Aberration de lumière,Gilbert Sorrentino, traduit de l’anglais (États-Unis) par Bernard Hoepfner. Éditions Actes Sud, 318 pages, 22,80 euros. «Comme tout se goupille vraiment très bien », pense Billy. Tom, qu’il s’est décidé à ne plus (…) -
L’ombilicalité du traducteur
26 March 2017, by Bernard HoepffnerL’ombilicalité, mot inventé par Thomas Browne dans Pseudodoxia Epidemica pour décrire un état intime, convergeant vers la cohérence parfaite entre deux personnes — qu’il ne faut pas confondre avec le nombrilisme — peut être considérée comme l’état vers lequel devrait chercher à tendre, par moments, le traducteur — à quels moments est une question à laquelle je tenterai de répondre plus tard. Browne parle de l’absence probable de nombril chez Adam, et il affirme :
Nous pouvons donc (…)
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